Ce soir là, alors que la violence du vent faisaient claquer mes vieux volets en sapin blanc, je me rendis compte...

qu'il m'arrivait de vouloir exprimer certaines idées que la grammaire francaise m'interdisait, pour exemple:

"De beaux chevals", qui produisait dans mon esprit la notion curieuse de singulier-pluriel, tandis que "des beaux chevaux" ne me permettait pas d'avoir une bonne conscience, une bonne forme pensée, de l'idée de chaque cheval appartenant au troupeau.

IL serait peut-être temps de sortir de ces barbelés?

Par contre, j'ai souvent entendu dire (en belgique, je l'avoue): "Je vais le notez dans mon agenda pour ne pas l'oublier"; alors que si  je le note, c'est justement pour avoir le confort de l'oublier (pas mon agenda).

Alors évidemment du point de vue de la dialectique, comment obtenir de bonne réponse si l'on est incapable de poser des questions dans le bon sens?

Imaginez, la quantité de mal-entendus entretenus, sur les grands sujets de notre époque... insurmontable!

Nocif